Les neurologues surnomment la vallée centrale de 300 milles de terres agricoles en Californie, entre Bakersfield et Sacramento, Parkinson’s Alley. Une étude publiée l’an dernier, par des chercheurs de l’Université de Californie à Los Angel, révèle que les citoyens de moins de 60 ans qui habitaient près des champs où de grandes concentrations de pesticides étaient vaporisés entre 1974 et 1999 ont un taux de Parkinson cinq fois plus élevé qu’ailleurs dans la région.
Vous aimerez aussi
-
Les contaminants sous la loupeMardi 18 juin 2019
-
Faut-il avoir peur des perturbateurs endocriniens ?Lundi 13 mars 2017
-
Comment se portent nos sols ?Mardi 26 avril 2016
-
Les pesticides tuent les grenouillesLundi 18 février 2013
-
Des travailleurs malades des pesticidesLundi 16 juillet 2012
-
La France s’attaque aux pesticidesVendredi 16 mars 2012