
Les travaux d’une équipe de chercheurs de l’Université McGill ont mené à la mise au point d’une technologie capable de mesurer les biomarqueurs protéiques liés au cancer du sein, une percée ayant fait l’objet d’un article dans le numéro d’avril de la revue scientifique Molecular& Cellular Proteomics. Cette nouvelle s’avère très encourageante : un dépistage précoce faisant augmenter les chances de réussite du traitement et la survie à long terme. Il faut savoir qu’une femme sur huit obtiendra un diagnostic de cancer du sein au cours de sa vie.
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