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Fumer est presque aussi pire... qu'arrêter de fumer
(ASP) - Lorsqu'un fumeur régulier met fin à son habitude,
non seulement son humeur se détériore -et il suffit pour cela
de quelques heures- mais en plus, ses capacités mentales diminuent.
Une "plongée" qui a, l'an dernier, été mesurée
en laboratoire.
Mais un doute subsistait quant à ce qu'il en est réellement
en-dehors des laboratoires, autrement dit, dans la vie de tous les jours.
Eh bien voici qu'une nouvelle étude, elle aussi britannique, vient
contrer la première, affirmant que les impacts négatifs de
l'interruption de cigarette ne sont pas aussi dramatiques. L'équipe
de Jackie Knowles, du Laboratoire de recherche sur les transport à
Berkshire, Grande-Bretagne, s'est penchée sur la Journée nationale
sans fumée (National No-Smoking Day), instituée là-bas
depuis 1984, le deuxième mardi de mars. Et alors que les chercheurs
de l'an dernier affirmaient que cette journée se traduisait par une
augmentation du nombre d'accidents de travail, Knowles, en s'appuyant sur
une autre banque de données -les accidents de la route- affirme qu'il
n'existe aucune différence significative entre ce mardi sans fumée
et les autres mardis de février et de mars.
A moins, bien sûr, que les fumeurs repentis soient soudain très
irritables au travail, mais tout aussi vigilants sur la route... Mais pour
savoir ça, il faudra sûrement une troisième étude.
La suite l'an prochain?
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