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Saint-Valentin avec Eros
(ASP) - Le deuxième rendez-vous était le bon
: Near s'est uni à Eros, pour le meilleur et pour le pire.
La sonde américaine est devenue le 14 février le
premier engin à entrer en orbite d'un astéroïde.
Lequel, au cas où vous n'auriez pas saisi l'allusion,
porte le nom d'une déesse de l'amour.
Near (Near Earth Asteroid Rendezvous) a allumé ses
rétro-fuséees pendant 57 secondes pour se placer
sur la bonne trajectoire, avant d'envoyer vers la Terre un petit
mot signalant qu'il avait enfin abordé sa bien-aimée.
Une première tentative, en janvier 1999, s'était
soldée par un échec, les moteurs de la sonde ne
s'étant pas allumés à temps.
La
sonde doit passer un an près d'Eros, tournant autour
sur des orbites de plus en plus basses. Après un an, on
pourrait même l'envoyer frôler la surface avec un
de ses panneaux solaires -à moins qu'on ne décide
carrément de l'envoyer s'écraser. Toutes ces manoeuvres,
ajoutées aux données recueillies par les quatre
instruments scientifiques et la caméra du bord, permettront
d'amasser sur ce caillou d'à peine 35 kilomètres
de long des données inédites, puisque jamais quiconque
de s'est approché d'aussi près d'un astéroïde.
Le fait qu'il s'agisse d'un de ces astéroïdes que
leur trajectoire amène à l'occasion près
de la Terre (Near Earth Asteroid) ajoute à l'intérêt
: plusieurs ont bien hâte d'en apprendre plus sur sa structure
interne, sa masse et sa densité.
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