Bonne nouvelle : ces chercheurs de l’Université d’État de New York évoquent du même coup la possibilité qu’ayant identifié le bobo, il soit possible de mettre au point un médicament qui contrecarrerait les effets de cette protéine. Du moins, ça semble fonctionner pour l’instant... mais uniquement chez les souris. Vos ados ont le temps de devenir adultes avant que la recherche n’arrive à son terme.
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