Mais que dire de vies intelligentes? L’astrophysicien Paul Davies, qui s’est fait connaître par ses hypothèses audacieuses sur des bactéries extraterrestres, a franchi un pas de plus cet été en se demandant tout haut si des visiteurs, de passage sur Terre il y a des millions d’années, n’auraient pas pu laisser derrière eux une trace.
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Rien d’aussi évident qu’un monolithe comme dans 2001 l’odyssée de l’espace: il suggère plutôt des traces géologiques résultant des déchets industriels ou technologiques (radioactifs par exemple) laissés par ces «gens» derrière eux.
Ou, pour aller plus loin encore dans la spéculation, un message qu’ils auraient laissé, dans la géologie... ou dans l’ADN.
Les auteurs de science-fiction sont déjà à l’oeuvre...
