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Le cerveau décode plus rapidement les mauvaises odeurs que les bonnes; c’est ce que viennent de découvrir des chercheurs du Centre de recherche en neuropsychologie et cognition (CERNEC) du Département de psychologie de l'Université de Montréal. On reconnaitrait donc les odeurs de poissons pourris avant celles de pétales de rose. La raison? Les aliments avariés comportent un risque pour la santé.
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