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Une cellule qui en vient à utiliser deux modes de communication pour échanger de l’information… c’est bon ou pas ? Des chercheurs de l’Université de Montréal et de McGill viennent de découvrir que ce « bilinguisme cellulaire » serait lié à des maladies telles que la schizophrénie, la maladie de Parkinson et la dépression. Les résultats de leurs travaux ont été publiés dans la revue Nature Reviews Neuroscience.
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