ville-polluee.gif
En janvier dernier, les environnementalistes chinois ont gagné une bataille : les autorités annonçaient qu’elles acceptaient de rendre publiques les données sur la quantité de fines particules de pollution dans l’air de Pékin. Bien que les rassemblements de citoyens soient toujours interdits en Chine, les microblogues qui permettent aux citoyens d’échanger rapidement de l’information ont forcé les autorités à plus de transparence.
Je donne