La Charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifiée, lancée en 2010, a été efficace, conclue une récente étude. Les politiques publiques mises de l’avant pour inciter les gens à mieux s’alimenter et à bouger davantage, en se préoccupant moins de l’aspect psychologique de l’image corporelle, a porté fruits selon l’une des responsables de l’étude Lise Gauvin du Département de médecine sociale et préventive de l’Université de Montréal. La promotion de corps excessivement minces pouvait mener à des contrôles du poids mésadaptées et à des troubles de l’alimentation, surtout chez les adolescentes.
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