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Perdre sa troisième main
(ASP) - On croyait que tout allait bien, mais finalement,
il n'en est rien : le greffé de la main risque de perdre
sa nouvelle main. Clint Hallam, ce Néo-Zélandais
qui, en septembre 1998, est devenu
le premier homme de l'histoire à se faire greffer la main
d'un autre, et pour qui les choses semblaient, depuis, évoluer
favorablement, fait une rechute. Il a dû être hospitalisé
pour subir un vigoureux traitement antirejet.
Ce n'est pas le premier épisode de rejet. Il en avait
subi un autre huit semaines après l'opération,
et celui-ci avait été facilement contrôlé.
Mais il en avait subi encore un en décembre; bien qu'il
ait lui aussi été contrôlé, les soupçons
recommencent à émerger sur cette opération.
Le rejet, comme l'écrit Libération, " était
l'inconnue majeure de cette première médicale ";
le traitement antirejet mis au point par le professeur Dubernard,
de l'hôpital de Lyon, était aussi inédit
que l'opération elle-même et personne n'était
alors en mesure d'évaluer son impact à long terme
sur le patient.
"Au pire, explique Jean-Michel Dubernard, si le bras
est rejeté et devient inutile, il faudra effectuer une
nouvelle amputation." Ce qui nous ramènerait au point
de départ.
Depuis cette première de septembre 1998, six autres
greffes ont eu lieu dans le monde, avec les mêmes techniques
qu'employées à Lyon.
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