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Le 3 octobre 2002



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La carte du chien

(Agence Science-Presse) - Prochains sur la liste du décodage: les génomes de la vache et du chien. Après les humains, les souris, les rats, le plant de riz et plusieurs centaines de bactéries, deux bestioles plus familières se hissent tout en haut de la liste des priorités des décodeurs de gènes.

Chaque chercheur à travers le monde a bien sûr sa bestiole favorite. Et chacun est en mesure de démontrer pourquoi le décodage du génome de cette bestiole serait infiniment utile à l'humanité. Au cours des dernières années, les projets soumis à l'Institut national de recherche sur le génome humain, aux Etats-Unis, n'ont donc pas manqué.

Les "gagnants", annoncés la semaine dernière, viennent donc se joindre au poulet, au chimpanzé, à l'abeille, à l'oursin de mer et à 15 espèces de fougères, eux aussi sur la liste des êtres vivants dont le décodage est jugé prioritaire. Ce qui signifie qu'elles auront plus de chances d'obtenir de plus grosses subventions, de meilleurs budgets de recherches, davantage de chercheurs, etc.

Cela ne permet pas pour autant de dire quand ces différents génomes seront complétés, puisque la vitesse à laquelle avanceront ces travaux repose encore sur plusieurs inconnues.

En théorie, chacune de ces bestioles, aussi bien l'oursin de mer que la vache, pourrait contenir des gènes, ou des séquences de gènes, qui permettraient de mieux comprendre nos propres gènes -puisque nous avons beaucoup en commun avec tous ces êtres, même le plus humble. Plusieurs maux qui affligent les humains sont aussi présents chez le chien (on en dénombre 400) ou l'oursin de mer -parfois vaincus, chez ces bestioles, depuis des millions d'années, auquel cas le gène-clef peut devenir plus facile à identifier. Dans d'autres cas, une connaissance pointue de ces génomes est attendue avec impatience par les agriculteurs -la vache, par exemple- ou les botanistes -les fougères, par exemple.

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