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On est loin du clonage, mais des protéines de 43,000 ans, on ne voit pas ça souvent: surtout provenant d’un mammouth.

Une équipe internationale a en effet extrait 126 protéines de l’os d’un mammouth mort depuis 43 000 ans —un exploit qui repousse un peu plus les limites de ce qu’on croyait possible de découvrir chez des bestioles mortes.

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L’analyse des protéines préhistoriques, ou paléoprotéomique, pourrait devenir une alternative aux gènes, lorsque ceux-ci ont été trop dégradés par le temps.

En fait, ces dernières années, d’autres chercheurs ont également publié des analyses de protéines de dinosaures vieux d’environ 70 millions d’années, mais ces résultats restent controversés.

L’analyse du mammouth, elle, paraît plus solide, parce que son fémur, retrouvé en Sibérie en 1993, était probablement gelé depuis sa mort.

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