Une analyse des gènes de 11 chasseurs et fermiers vieux de 5 à 7000 ans et habitant ce qui est aujourd’hui la Suède, a en effet révélé des différences inattendues. Comme si les premiers agriculteurs européens provenaient d’une population différente, qui aurait délogé l’ancienne population de chasseurs.
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En comparaison, les génomes des populations modernes de Scandinaves et d’Italiens révèlent plus de similitudes que les génomes de ces agriculteurs et chasseurs de l’époque. Il faudra davantage de génomes préhistoriques pour conclure quoi que ce soit, mais c’est déjà la deuxième fois en moins d’un an que des généticiens européens mettent le doigt sur des indices pointant vers un genre de choc des populations.
