Il s’agissait d’un geste d’éclat visant à dénoncer l’existence de ce marché lucratif de revues « prédatrices », c’est-à-dire ces revues qui n’ont de scientifique que le nom, et qui publient tout ce qu’on leur envoie... pourvu qu’on les paie. Anna O. Szust, de l’Université Adam Mickiewicz en Pologne —...