Si la tendance se maintient, l’Afrique pourrait perdre 100 000 éléphants de plus dans les 10 prochaines années, victimes du trafic d’ivoire. Un cinquième de la population.

Le bon côté, c’est que grâce à un programme mis en place par la Convention des Nations Unies sur le commerce des espèces menacées, ou CITES), on peut mesurer ces pertes avec plus de précision que jamais. Mais le mauvais côté, c’est que les contrebandiers poursuivent leur travail en toute impunité.

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En 2013, dix-huit saisies de plus de 500 kilos d’ivoire ont été effectuées dans un coin ou l’autre du continent, un record qui ne semble toutefois pas ralentir le trafic.

Au cours d’un sommet tenu récemment au Botswana, les délégués de 30 pays ont convenu de peines plus sévères, en plaçant le trafic d’ivoire dans la catégorie des «crimes sérieux», seule façon d’avoir un impact. Mais comme l’écrit le Scientific American dans son édition de décembre, des engagements financiers plus élevés de la part des pays riches pourraient aussi avoir un impact...

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