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Moins heureuses, les familles et les enfants atteints de trisomie 13 et 18 ? Non, c’est ce que démontre une étude dirigée par Dre Annie Janvier, du CHU Sainte-Justine et de l'Université de Montréal, avec la collaboration spéciale de la mère d'un enfant décédé de la trisomie 13. Malgré un lourd handicap et une très courte espérance de vie, ces enfants et leur famille vivent une expérience globalement heureuse et enrichissante, un constat divergeant des attentes les prestataires de soins de santé. Les conclusions de cette étude ont fait l’objet d’un article, paru le mois dernier dans la revue scientifique Pediatrics.
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