À Singapour, un projet vise à analyser la qualité de l’air en comparant un maximum de photos avec les mesures officielles des taux de pollution. À l’Université Columbia de New York, des chercheurs utilisent plus prosaïquement Google Street View à des fins d’urbanisme — le chercheur principal évalue qu’il ne faudra que quelques mois pour accomplir un travail qui aurait normalement pris trois ans. À Londres, d’autres essaient de déterminer les endroits privilégiés par les piétons. En Caroline du Nord, la pollution encore, et son impact sur la santé des enfants.
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Toutes ces recherches sont à l’état de projet. Il faudra quelques années avant de savoir si toutes ces photos déposées sur Flickr, Instagram ou Facebook auront des retombées que leurs propriétaires n’auraient pas soupçonnées...