Ce n’est pas que l’île en était dépourvue : des récits de voyageurs remontant au XIXe siècle font état de l’acharnement des insectes piqueurs pendant le bref été. Mais la hausse des températures fait qu’on retrouve davantage de points d’eau où les oeufs des insectes indigènes à l’île peuvent éclore...
