
Seulement la moitié (51%) des Québécois ont entendu parler de salubrité ou de rappels alimentaires six mois plus tôt, alors que les autres Canadiens l’étaient dans une proportion de 70%, selon un récent sondage Décima obtenu par La Presse, réalisé auprès de 1001 Canadiens en mars 2010. Or, les rappels se font plus nombreux, faisant augmenter du coup, «la possibilité qu'il y ait plus de problèmes».
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