
Les palmiers à huile, dont la culture a ravagé les forêts malaisiennes et indonésiennes, pourraient-ils au contraire contribuer à sauver la forêt amazonienne? Selon Rhett Butler, s'ils sont plantés de façon responsable sur les terres à pâturage dégradées du Brésil (donc sans couper d’arbres), ils pourraient générer plus d’emplois et de revenus que l’élevage de faible intensité du bétail. Les palmiers pourraient aussi servir de rempart contre les feux de forêt, maintenir ou restaurer certaines fonctions écologiques comme l’évapotranspiration, contribuer à séquestrer du carbone et même, dans une certaine mesure, atténuer le réchauffement climatique. Mais les défis liés à l’expansion de ces plantations en Amazonie sont nombreux, de même que les risques de « débordement »…
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