
Le travail sur l’amiante du professeur J. Corbett McDonald a été mis en doute par un reportage ce mois-ci. Si bien que la directrice du Département d'épidémiologie, de biostatistique et de santé au travail Rebecca Fuhrer s’est vue confier la tâche de «certifier» que les travaux du professeur «ont été menés conformément aux rigoureuses normes scientifiques qui font la réputation de McGill», pouvait-on lire dans Le Devoir. Les recherches de M. McDonald portaient sur le décès de milliers de travailleurs québécois des secteurs de l'exploitation et du traitement du chrysotile.