
Il n’y a pas qu’à Pékin que l’air est irrespirable. Depuis la mi-décembre, la pollution de l’air à Téhéran a atteint un niveau critique. Début janvier, les autorités iraniennes ont dû ordonner la fermeture des établissements publics, écoles et universités pendant trois jours. Les journaux iraniens estiment à 45 000 le nombre de décès survenus à cause de la pollution atmosphérique au cours de la dernière année.
Les plus populaires
Autisme: qu’est-ce qu’on connaît de la leucovorine?
Jeudi 25 septembre 2025
Le premier succès inconditionnel de l’ordinateur quantique?
Samedi 27 septembre 2025
Si l’IA est mal utilisée, la productivité de tout le monde en souffre
Jeudi 25 septembre 2025