Ceux qui en sont arrivés à cette conclusion ont appliqué à la biologie la théorie des réseaux... qu’on utilise en communications. Adilson Motter et sa collègue croient pouvoir y démontrer comment l’effondrement d’une chaîne alimentaire pourrait être empêché si on se contentait de choisir judicieusement l’espèce à « retirer » de la chaîne, et ce dans une région bien ciblée. Les tactiques pour en arriver là pourraient aller du contrôle des naissances (comme on le fait fréquemment chez des herbivores dont la croissance menace les cultures locales) jusqu’à l’autorisation de la pêche dans une région donnée (Nature Communications).
  
Pour limiter les perturbations d’un écosystème où une espèce a disparu, la meilleure solution est peut-être... de faire disparaître une autre espèce!
      
        
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