Les auteurs de plus de la moitié des 314 recherches parues dans des revues de haut niveau sur une période de 18 mois n’auraient pas pris les moyens nécessaires pour s’assurer que leurs résultats «statistiquement significatifs»... soient réellement significatifs. Ce qui signifie un risque élevé de faux positifs: des résultats qui semblent à première vue encourageants, mais sont en réalité erronés.
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Si le problème peut se poser avec n’importe quelle science, la difficulté propre aux neurosciences est que la complexité croissante des observations —on peut examiner le cerveau de plus en plus finement— fait augmenter le risque d’erreur. Il faut s’assurer que le signal émis par un neurone est bel et bien dû à l’action entreprise par une personne pendant cette seconde-là, et non la conséquence de l’action précédente ou de toute autre chose sans rapport avec l’expérience.





