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(Agence Science-Presse) - Vous avez déjà rêvé de travailler au milieu des animaux ou de créer des glissades d’eau? Certains ingénieurs ont eu la chance de réaliser leurs rêves d’enfance au sortir de l’université. L'édition de février du IEEE Spectrum Magazine en présente trois exemples.
Le Belge Jos Cocquyt était si mauvais en mathématiques qu’il était fort improbable qu’un collège l’admette. Mais il était si têtu qu’aujourd’hui, il conçoit des avions-espions sans pilote, lui qui, petit garçon, adorait fabriquer des planeurs.
Martin Cooper, qui s'attendait à travailler dans l'univers de la recherche, s'est découvert des intérêts inattendus: il se sert de lasers pour restaurer des œuvres d’art inestimables, un emploi obtenu à la suite d’un stage qui lui semblait " amusant ".
Pour sa part, l’informaticien Louis Liebenberg a émigré pour le boulot en Afrique du Sud, même s'il craignait le choc culturel. Après sa semaine normal de 40 heures, il part dans la brousse observer et photographier les animaux, lui qui s'y passionnait depuis son plus jeune âge.
Selon ces rêveurs, dénicher des emplois pareils est possible si l’on est ouvert à toutes les occasions qui s’offrent à nous – surtout si elles sont insensées– et si l’on est doté d’abord et avant tout d’une grande capacité d’adaptation.
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