«Pour l’art pillé, prenez à gauche. Pour l’art volé, c’est à droite.» Grâce à un casque de réalité virtuelle, les visiteurs ont la possibilité de «se promener» dans les allées d’une véritable galerie d’art en 3D pour découvrir des œuvres d’art volées ou disparues.
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Créé par Ziv Schneider, une artiste israélienne installée à New York, le projet The Museum of Stolen Art est «la fusion unique de la technologie et la culture», comme le souligne le site d’information PSFK. En utilisant Oculus Rift, un périphérique informatique de réalité virtuelle en cours de développement et conçu par l'entreprise Oculus VR, filiale de Facebook (source: Wikipedia), il permet de découvrir, en haute définition, «la collection la plus recherchée du monde», celle des œuvres et des sculptures disparues et répertoriées dans les archives du FBI et d’Interpol.
L’idée de la jeune artiste, selon PSFK, était de «créer un espace virtuel pour des objets ayant uniquement une existence virtuelle». Trois expositions sont proposées pour l’instant: «Le pillage de l’Afghanistan», «Le pillage de l’Irak» et «Célèbres peintures volées». Ziv Schneider prévoit également de développer une version de son musée sur Internet pour ceux qui n’ont pas accès à un casque de réalité virtuelle. La chance s’ouvrira donc à un plus grand nombre d’amateurs d’art. Tuê DANG




