Car entre ces lunettes et différents prototypes d’appareils répartis à travers nos vêtements, nos montres ou notre peau, c’est toute la technologie de «l’intégration humain-machine» qui ne montre aucun signe de s’arrêter. Le journaliste en technologie Hal Hodson souligne que les problèmes des «Google Glass» ne résident pas dans le concept lui-même, mais dans la durée de vie de sa batterie, la qualité de son écran... ou son esthétisme qui laissait à désirer. Il est même possible que la prochaine étape soit du côté des écouteurs plutôt que des lunettes: les systèmes de reconnaissance de caractère, les logiciels comme SIRI qui permettent de «dialoguer» avec la machine, et même les traducteurs automatiques, font déjà saliver les vendeurs...
Les détracteurs des lunettes Google se réjouissent de leur retrait du marché, mais ne devraient pas en tirer plaisir trop vite: ce n’est qu’une question de temps avant que Google, ou un concurrent, n’arrive avec un modèle plus efficace... et plus attrayant.
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