Une équipe de l’UQAM a montré en 2010 qu'il y avait une différence de 6,2 points de QI entre les enfants les plus exposés au manganèse et ceux qui l’étaient le moins. L’an dernier, les chercheurs ont vu des changements subtils, mais présents, dans la forme des noyaux de base du cerveau. Ils étaient plus gros chez les enfants les plus exposés au manganèse, qui avaient également une moins bonne coordination motrice.
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