Elles sont plutôt rares aujourd’hui, d’où la joie d’archéologues qui en ont trouvé une près de Londres, et ont pu profiter de toute la technologie du 21e siècle pour analyser le contenu : des rognures d’ongles, de la mousse de nombril (!), des cheveux et de l’urine humaine. Le rapport, publié dans British Archaeology, ne précise pas si tout cela a été récolté à la pleine lune...
Aux 16e et 17e siècles, en Europe, des « bouteilles de sorciers » étaient fréquemment enterrées à proximité des maisons pour éloigner le mauvais sort.
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