Des généticiens viennent à son sujet d’élucider un mystère de 80 ans. Parce que c’est en effet depuis les années 1930 que les experts savent que ce Tetrahymena thermophila peut appartenir à n’importe quel des «sept groupes reproducteurs» qui peuvent se reproduire de 21 façons différentes —chaque organisme semble choisir à quel sexe il appartient au moment de la reproduction.
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Or, c’est le mystère de ce «choix» que les généticiens décrivent dans la revue PLoS Biology : les segments d’ADN correspondant à chacun des groupes sont «effacés» jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un.
