Selon une étude dirigée à l’Université de Louvain, en Belgique, et parue le 6 décembre dans Science , c’est un dysfonctionnement des connexions entre les zones de l’audition et de la parole qui serait derrière la dyslexie.
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D’un côté, les représentations phonétiques du langage semblent intactes —autrement dit, le cerveau «lit» correctement les lettres. Mais c’est au moment d’envoyer l’information vers le centre de la parole que le transfert ne s’effectue pas correctement.
