La Fondation Wikimedia a en effet déposé le 10 mars une poursuite contre la NSA (National Security Agency), au nom de ses 500 millions d’utilisateurs, conjointement avec huit autres organisations, dont l’Association américaine des libertés civiles (ACLU).
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Écrivant dans le New York Times , son fondateur Jimmy Wales allègue que cette surveillance de masse —la possibilité, pour la NSA, d’amasser toutes les données sur toutes nos recherches— viole le droit à la vie privée ainsi que les libertés d’expression et d’association, telles que définies par la constitution américaine. On pointe particulièrement les utilisateurs qui souhaitent que leurs recherches ou leurs mises à jour soient réalisées anonymement.
