Dans leur communiqué de presse, le porte-parole du CERN précise que «l’étude de ses propriétés pourrait nous permettre de mieux comprendre comment est constituée la matière ordinaire, c’est-à-dire les protons et les neutrons dont nous sommes tous composés.» Prochaine étape? Étudier la manière dont les quarks sont liés à l’intérieur des pentaquarks.
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Ils le savaient, ils le sentaient presque. La théorie était de leur côté. La preuve est faite. Grâce au grand collisionneur d’hadrons du CERN à Genève, les scientifiques ont détecté une nouvelle particule jamais «vue» jusque-là et l’ont nommée pentaquark. Un hommage discret à la combinaison de cinq quarks, particules subatomiques et composants emblématiques des protons et des neutrons.
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