Déjà, une partie de la colonne vertébrale d’Internet gît au fond de l’Atlantique et du Pacifique, mais c’est la première fois que l’Arctique sera mis à contribution. Les promoteurs de ce nouveau câble affirment que celui-ci réduira le temps de transmission des données entre Londres et Tokyo, tout en offrant un service plus rapide à l’Alaska, où est basée la compagnie qui coordonne ce projet, Quintillion Networks. Le déploiement de la phase un, à partir de la côte sud de l’Alaska, doit commencer cet été.
Il n’y a pas que les compagnies maritimes qui rêvent de faire passer leurs navires par l’Arctique : la prochaine liaison par fibre optique entre l’Europe et l’Asie passera par un câble sous-marin au fond de cet océan.