La question n’est pas seulement un exercice philosophique: elle intrigue bel et bien des physiciens, qui partent du principe que même une simulation d’une taille cosmique rencontrerait elle aussi des limites informatiques (mémoire, vitesse de traitement de l’information...).
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Par conséquent, se produiraient de temps en temps des bogues trahissant les programmeurs.
Selon des physiciens de l’Université de Bonn, en Allemagne, ces bogues se révéleraient à travers la trajectoire suivie par les rayons cosmiques.
Menu détail toutefois, il faudrait pour les détecter des mesures de l’ordre du femtomètre, ou millionième de millionième de millimètre.
— Pascal Lapointe
