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Un chroniqueur britannique qui s’interrogeait sur la crédibilité de deux services privés de prévisions météorologiques a découvert que les météorologues qui signaient les prévisions... n’existaient pas.

Avec l’aide de lecteurs, George Monbiot a pu confirmer que les photos correspondaient, entre autres, à deux femmes de pays de l’Est offrant leurs services de «mariage par correspondance».

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Confronté, le président d’un de ces services a dû reconnaître que les photos ne correspondaient pas aux auteurs, et a fermé boutique.

Les prévisions météorologiques étaient publiées par au moins quatre quotidiens britanniques, qui ont à l’occasion cité ces «météorologues» comme sources principales pour des articles.

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