Ses concepteurs ont en effet pris soin d’aller un cran plus loin que les autres villes vertes: recyclage de l’eau et utilisation d’énergies renouvelables certes, mais surtout, gestion du tout par son «cerveau» informatique en fonction des données récoltées par des milliers de senseurs à différents moments de la journée.
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Autrement dit, le cerveau redirige les surplus d’énergie là où on en a besoin, en fonction de la consommation d’énergie dans chaque quartier —voire dans chaque édifice.
Ce système nerveux sera ce qui coûtera le plus cher, reconnaît le directeur du projet, Steven Lewis. Mais la facture, promet-on, sera remboursée par les économies d’énergie.