dreamstime_xs_21461183.jpg
En science aussi, la tentation de faire court frappe fort.

C’est particulièrement visible dans les sciences du comportement, reprochent deux psychologues britanniques, qui évaluent que les articles publiés dans les revues savantes ne font souvent que le tiers de la longueur d’un article «normal».

Abonnez-vous à notre infolettre!

Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!

Il faudrait y voir une conséquence tangible de la pression des universités à publier davantage et plus vite.

Mais plusieurs revues semblent également encourager les textes plus courts.

Et même des chercheurs évoquent des statistiques —qui ne font pas l’unanimité— tendant à démontrer que les articles plus courts seront cités plus souvent, ce qui augmente chaque fois le «classement» du chercheur.

Je donne