Le but? Démontrer que les boas constrictors sentent les battements de cœur de la victime qu’ils sont en train d’étouffer, ce qui déterminerait la pression qu’ils y mettent: quand les battements de cœur cessent, ils cesseraient de serrer.
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Et ça a fonctionné: tant que les chercheurs ont laissé battre le «cœur», le boa a continué d’appliquer de la pression.
Cette découverte, en fait, était prévisible, parce qu’on voyait mal comment le boa pouvait savoir que sa proie était morte ou vivante, mais jusqu’ici, ça n’avait pas été facile à vérifier...





