L’étude compare la fréquence de bouffées de chaleur survenant le jour et la nuit chez 106 femmes préménopausées et soumises à 3 entraînements physiques par semaine pendant 12 semaines et chez 142 femmes sans programme sportif particulier. Le groupe le plus actif n’a pas enregistré de baisse de fréquence des bouffées de chaleur, mais, sans surprise, a bénéficié d’un meilleur sommeil et a noté moins d’états dépressifs que le groupe sédentaire.
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Les paresseuses peuvent donc arrêter de se culpabiliser si elles ne suivent pas les recommandations de leur médecin. À une nuance près: selon l’étude, les femmes blanches sportives ont moins de bouffées de chaleur que les femmes d’origine africaine soumises au même entraînement. Mieux vaut donc s’incliner devant l’évidence: à la cinquantaine, l’activité physique ralentit le déclin…