En juillet dernier, les nouvelles semblaient tellement bonnes que ces deux hommes de Boston (leur identité reste inconnue) avaient été autorisés à mettre fin à leur traitement antirétroviral. Ils étaient deux parmi plusieurs autres censés, grâce à une transplantation de moelle épinière, avoir été débarrassés des dernières traces du VIH.
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On disait jadis de ce virus qu’on ne pouvait s’en débarrasser, tout au plus l’endormir, il semble donc qu’il n’était effectivement qu’endormi: selon des informations présentées récemment au congrès international sur la résilience du sida, le virus est «réapparu» dans le sang des deux hommes, qui ont du coup repris les traitements, après les avoir interrompus pendant respectivement 12 et 32 semaines.
