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La pandémie n’a pas seulement permis aux chercheurs d’accroître leurs connaissances sur un virus ou sur les vaccins. La gestion de la santé publique, l’impact qu'ont eu sur celle-ci les inégalités et les vulnérabilités de certaines franges de population, l’accès parfois difficile aux soins, l’importance d’une bonne qualité de l’air dans les classes, ont tous été des sujets dans lesquels les chercheurs ont dû plonger, parfois sans filet.

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Il en ressort des leçons encore utiles aujourd’hui dans notre climat de polarisation sociale, et dans un contexte où la communication de la science vers le grand public n’est pas facile. 

Qu’en retiennent les chercheurs et chercheuses ? Isabelle Burgun en parle avec:

  • Danielle Maltais, professeure émérite de l’Université du Québec à Chicoutimi et titulaire de la Chaire de recherche sur les événements traumatiques, la santé mentale et la résilience
  • Benoit Mâsse, professeur titulaire à l’École de santé publique de l’Université de Montréal et responsable du programme de doctorat en santé publique.
  • Andrés Finzi, professeur titulaire au Département de microbiologie, infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et responsable, Axe Immuno-pathologie au Centre de recherche du CHUM 

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La pandémie a souligné l’importance de la science fondamentale, de la santé publique, du soutien des proches aidants et du milieu communautaire. Des secteurs de la recherche qui ne bénéficiaient pas de gros budgets. Nous avons beaucoup entendu : « le monde ne sera plus jamais le même après la pandémie ». Alors qu’en est-il pour la santé publique depuis la pandémie? Est-elle plus prise en considération et plus financée qu’auparavant?

On a appris que tout le monde n’était pas dans le même bateau, comme les élèves en difficulté d’apprentissage. Certains segments de la population ont été moins vaccinés que d’autres. Quelles leçons peut-on en tirer?

Est-ce que ça a permis une prise de conscience de l’importance de la recherche fondamentale? Y a-t-il des acquis du côté de collaborations entre des laboratoires autrefois en concurrence ou qui ne travaillaient pas dans un but commun? 

Les coupes du gouvernement Trump, est-ce que ça nuit à ces collaborations?

Une autre chose apprise, c’est l’importance de mieux communiquer la science. Communiquer l’incertitude, c’est un défi?

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Je vote pour la science est diffusée le lundi à 13 h sur les cinq stations régionales de Radio VM. Elle est animée par Isabelle Burgun. Recherche pour cette émission: Isabelle Burgun. Vous pouvez également nous écouter, entre autres, sur CHOQ (Toronto), CFOU (Trois-Rivières), et CIAX (Windsor). 

Vous trouverez toutes les émissions précédentes ici.

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