
Une étude du Département d’éducation physique de l’Université Laval, auprès de fédérations et clubs sportifs de la région de Québec, révèle que la prévention des abus sexuels sur mineurs n’apparaît pas comme une priorité. Les cas sont pourtant fréquents. Les personnes qui s’occupent des jeunes redoutent le seul fait d’en parler. Ils craignent également les fausses allégations. Aucun des participants à l’enquête – parents, entraîneurs, athlètes, administrateurs – n’a jamais reçu la moindre formation sur l’abus sexuel, que ce soit sous forme de conférences ou encore de documents écrits.
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