C’est la conclusion à laquelle sont arrivés les neurobiologistes de l’Université Northwestern en étudiant un gène lié aux habitudes de sommeil des drosophiles! Après la suppression de ce gène, les mouches présentaient un comportement somnolent constant et un rythme de sommeil aléatoire. Pour les chercheurs, ce gène contrôlerait une protéine-clé dans les neurones impliqués dans l’horloge biologique.

Que ceux qui haïssent se réveiller de bonne heure arrêtent de culpabiliser, le problème pourrait être gé-né-tique! Ce n’est pas la peine de lutter, dormez sur vos deux oreilles!
Les plus populaires
Le 3e visiteur interstellaire
Vendredi 4 juillet 2025
Le mystère de la tache bleue de l’Atlantique Nord résolu?
Jeudi 10 juillet 2025
Doléances pour les collections scientifiques de nos musées
Dimanche 13 juillet 2025