C’est la conclusion à laquelle sont arrivés les neurobiologistes de l’Université Northwestern en étudiant un gène lié aux habitudes de sommeil des drosophiles! Après la suppression de ce gène, les mouches présentaient un comportement somnolent constant et un rythme de sommeil aléatoire. Pour les chercheurs, ce gène contrôlerait une protéine-clé dans les neurones impliqués dans l’horloge biologique.

Que ceux qui haïssent se réveiller de bonne heure arrêtent de culpabiliser, le problème pourrait être gé-né-tique! Ce n’est pas la peine de lutter, dormez sur vos deux oreilles!
Les plus populaires
Quand l’IA encourage les troubles psychotiques
Lundi 1 septembre 2025
Le duo de militants antivaccins qui publiera une étude sur l’autisme
Jeudi 28 août 2025
Incendies du Portugal et de l’Espagne: une tendance à long terme
Vendredi 5 septembre 2025