Dernier chapitre de cette querelle: insérer dans des recherches scientifiques des cartes géographiques indiquant ces îles comme chinoises... même si ça n’a rien à voir avec la recherche!
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Par exemple, une revue de l’impact des changements climatiques sur l’agriculture régionale, parue dans Nature en 2010, contenait une carte de la frontière maritime de la Chine s’étendant loin au-delà de ce qui est officiellement reconnu par les Nations Unies.
Au point où, en septembre dernier, 57 scientifiques vietnamiens —dont le pays a aussi des prétentions sur ces îles— se sont plaints de l’utilisation «politique» qui est faite de la géographie.
Dans des éditoriaux séparés, Nature et Science se sont engagés à regarder désormais plus attentivement les cartes avant leur publication...





