C’est-à-dire des chiens qui vivent à proximité des humains, se nourrissent des déchets, mais n’ont pas de domicile fixe. L’équipe dirigée depuis l’Université Cornell a fait ce choix parce que ces chiens sont beaucoup moins étudiés que les « pures races » et ouvraient la porte à une variété génétique plus grande.
Abonnez-vous à notre infolettre!
Pour ne rien rater de l'actualité scientifique et tout savoir sur nos efforts pour lutter contre les fausses nouvelles et la désinformation!
En entrevue à The Atlantic, le chercheur principal, Adam Boyko, précise : « très peu de gens ont été mordus pendant ce projet. Mais le nombre n’est pas zéro. » (Proceedings of the National Academy of Science)