Une recherche dirigée par Eric Kandel, de l’Université Columbia, révèle en effet que cette mystérieuse protéine que l’on ne connaissait jusqu’ici qu’à travers ses méfaits, joue un rôle essentiel dans le système nerveux des animaux: elle stabilise les synapses impliquées dans la formation de la mémoire à long terme. Il semble qu’un mécanisme au sein de la cellule détermine quand le prion a besoin d’être activé.
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Au contraire du prion qui a révélé son existence dans les années 1990 à cause de la maladie de la vache folle, celui-ci n’est pas contagieux, mais la façon dont il s’assemble à l’échelle moléculaire est pourtant la même. S’agit-il vraiment du même ou d’un proche cousin?





