À l’échelle de la planète, on estime à 114 millions le nombre de personnes déplacées. Souvent sans toit et sans papiers, elles fuient les crises humanitaires ou les récents conflits. Et bon nombre sont des enfants, loin de leur famille.
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Ces gens sont entre autres des réfugiés, et on en parle à notre émission cette semaine à l’occasion de la Journée canadienne des droits des réfugiés, le 4 avril. Une occasion aussi de parler de science, avec les humains qui se cachent derrière les statistiques.
Le prochain congrès de l’Acfas, du 14 au 16 mai à Ottawa, accueillera d’ailleurs un colloque sur la « complexité des trajectoires » dans l’immigration au Québec et ailleurs. Les migrants sont en effet de divers types, et parmi eux, les réfugiés et les demandeurs d’asile ont des trajectoires migratrices semées d’enjeux et d’embuches.
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Comment les conflits et les crises humanitaires déplacent les populations et comment le Canada, et le Québec les accueillent? Isabelle Burgun en parle avec :
- Lauren Lallemand, codirectrice générale du Conseil canadien pour les réfugiés
- Joey Hanna, chef du bureau de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à Montréal
- Adèle Garnier, professeure agrégée au département de géographie de l’Université Laval, codirectrice de l’Équipe de recherche sur l’Immigration au Québec et ailleurs (ÉRIQA) et membre de la Chaire de recherche du Canada sur les dynamiques migratoires mondiales.
Le 4 avril, on célèbre l’arrêt Singh de la Cour suprême du Canada, de quoi s’agit-il ?
Le nombre de gens sur les routes de l’exil, en déplacement forcé, a augmenté considérablement dans la dernière décennie. Pourquoi? Et où vont ces personnes?
Comment accueille-t-on un demandeur d’asile? Que leur apprend-on sur leur pays d’accueil? Qu’est-ce que le programme de régularisation pour des migrants à statut précaire, qui n'a pas encore été adopté par le gouvernement fédéral?
Comment les chercheurs définissent-ils ces « trajectoires multiples » des personnes déplacées?
Adèle Garnier dirige un projet de recherche sur l’accueil des déplacés ukrainiens à Québec et à Winnipeg. Quels sont les enjeux?
Les Canadiens sont-ils plus accueillants face aux réfugiés que les citoyens d’autres pays?
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Je vote pour la science est diffusée le lundi à 13 h sur les cinq stations régionales de Radio VM. Elle est animée par Isabelle Burgun. Recherche pour cette émission: Isabelle Burgun. Vous pouvez également nous écouter, entre autres, sur CHOQ (Toronto), CFOU (Trois-Rivières), et CIAX (Windsor).
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