Rien de révolutionnaire dans cette découverte, sauf qu’elle provient d’une analyse de... 509 millions de messages sur Twitter.
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Les deux sociologues qui ont décidé de dresser cette «carte» des humeurs ne s’attendaient pas à ce que Twitter révèle quelque chose de différent.
Scott Golder et Michael Macy, de l’Université Cornell, voulaient plutôt démontrer que Twitter permettrait d’affiner des études sociologiques ou psychologiques... grâce à un échantillon de gens pas mal plus gros.
En l’occurrence, 2,4 millions d’usagers dans 84 pays, dont ils ont analysé les émotions en recherchant des mots-clefs traduisant des humeurs positives ou négatives
On peut parier qu’une prochaine étude se donnera pour objectif de dépasser la barre du milliard de messages... (Science)
